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CBD ET ADDICTION COMPORTEMENTALE : CYBERDEPENDANCE

Cyberdépendance : qu’est-ce que c’est ?

Avez-vous remarqué qu’aujourd’hui nous vivons à l’ère du tout numérique ?

Les écrans font partie de notre quotidien : la TV, l’ordinateur, le téléphone ou la tablette, pour le meilleur comme communiquer avec quelqu’un à l’autre bout du monde, faire des recherches sur tout et n’importe quoi… mais aussi, et malheureusement, pour le pire, à savoir la cyberdépendance.

Vous ne vous sentez pas concerné ?

N’êtes-vous pas même dépendant de votre téléphone portable ?

Réfléchissez-y un peu…

Etes-vous nomophobe, ou, autrement dit, avez-vous peur de vous retrouver sans lui ?

Que ressentez-vous quand vous avez oublié ou perdu votre « précieux », comme le surnomme très justement Soprano ?

Ecoutez les paroles de sa chanson, vous reconnaissez-vous ?

Et oui, nous sommes tous de plus en plus concernés par la cyberdépendance.

Sachez toutefois qu’elle peut être dangereuse et c’est ce que nous allons voir dans cet article avant de voir ce que le CBD pourrait apporter.

Mais que vient faire le CBD dans tout ça ?

Vous avez certainement déjà entendu parler des bienfaits du CBD, ne serait-ce qu’en naviguant sur notre site OPICIA.

Pour rappel, le CBD est une molécule non psychotrope issue du cannabis et qui agit sur notre système endocannabinoïde.

Si vous avez lu les 2 premières parties de notre série d’articles sur les addictions comportementales, vous avez déjà une petite idée du pouvoir qu’il pourrait avoir sur la cyberdépendance.

Nous avons vu son action sur l’addiction aux jeux d’argent et de hasard ainsi que sur les jeux vidéo, addictions pouvant d’ailleurs être amplifiées par Internet.

Il est désormais temps de nous pencher sur la cyberdépendance qui concerne bien d’autres domaines que les jeux.

Qu’est-ce que la cyberdépendance ?

cyberdépendance

La cyberdépendance est une addiction causée par l’utilisation récurrente et persistante d’Internet et des médias sociaux (jeux vidéo, réseaux sociaux, séries…).

Tout commence par une connexion dès qu’un moment d’ennui se présente puis juste un moment libre ou une pause. Ce moment dure 5 minutes puis ne cesse d’augmenter.

Le terme cyberdépendance a été utilisé pour la première fois en 1996 par la Psychologue Kimberly Young, qui ouvrira d’ailleurs le premier centre spécialisé dans le traitement de ce trouble.

Mais ce n’est que très récemment, en 2018, qu’il s’est popularisé.

Il existe de nombreuses formes de cyberdépendance :

  • jeux vidéo
  • cyber-relations
  • réseaux sociaux
  • recherche d’informations
  • achats compulsifs…

Que ce soit une partie de jeu gagnée, un « like » ou un commentaire sur notre publication, nous recherchons le pic de dopamine qui nous rendra heureux.

Le responsable, ici encore, est le système de récompense mais il ne fait pas la différence entre ce qui est bon pour nous ou pas. Il assure seulement la production de dopamine et l’envoie dans le cerveau. Ce dernier retient alors que la connexion Internet fait plaisir.

Mais, par un apport trop important de dopamine, les récepteurs dopaminergiques, trop sollicités, deviennent moins sensibles. Les mêmes effets nécessiteront alors plus de dopamine et la cyberdépendance s’installera.

Mais comment la cyberdépendance pourrait-elle affecter notre vie ?

La cyberdépendance et notre vie personnelle

Internet a bouleversé notre façon de communiquer et même de travailler.

On peut désormais échanger et accéder à d’innombrables informations en un clic.

Les appareils pour y accéder sont de plus en plus abordables et perfectionnés (ordinateurs portables, tablettes ou téléphones « intelligents » qui sont de véritables ordinateurs de poche).

Ils nous donnent accès à de nombreux sites, activités, applications que nous pouvons utiliser quotidiennement :

  • réseaux sociaux (Facebook, Youtube, Twitter…),
  • jeux en ligne (Warzone, League of legends…),
  • achats (Amazon…)…

Nous sommes ainsi constamment connectés à Internet. Nous comptons sur lui pour résoudre nos problèmes, suivre l’actualité, faire notre travail… C’est lui qui a les commandes.

Mais qu’est-ce que cela signifie pour nos vies personnelles ?

Internet est devenu, sinon une façon de vivre, une distraction sans fin qui peut prendre des heures de notre temps. Cela peut sembler inoffensif au début mais, à terme, peut peser sur notre vie et nos relations.

En effet, lorsqu’on est « connecté », on perd la notion du temps et il n’y a alors plus de temps à consacrer à autre chose comme la famille, une autre activité…

Ainsi, il est important de ne pas laisser Internet devenir une dépendance pour maintenir des habitudes et des relations saines mais également une bonne santé mentale.

La cyberdépendance et notre santé mentale

téléphone cyberdépendance

De nombreuses personnes « hyper connectées » ne peuvent en effet pas passer plus de quelques heures sans consulter leurs réseaux sociaux ou leurs e-mails.

En moyenne, nous passons environ deux heures par jour (soit un mois par an) sur notre téléphone. L’adolescent moyen en passe environ neuf.

Effrayant non ?

Il est important de garder à l’esprit le temps passé sur votre téléphone, car cela peut avoir un effet négatif sur votre santé mentale.

L’accès y est illimité (contrairement à un livre, un journal, une émission TV…).

Cela peut entraîner insomnies, dépression, anxiété… mais également exacerber ce qui existe déjà comme l’isolement ou la mauvaise estime de soi et les réseaux sociaux n’y sont pas étrangers.

Le rôle des réseaux sociaux dans la cyberdépendance

Les réseaux sociaux sont conçus pour être addictifs et sont d’ailleurs la plus grande cause de cyberdépendance.

Aujourd’hui, l’image numérique fictive est très importante.

Mais chaque réseau est différent et chaque internaute les aborde différemment.

Certains les utilisent quand d’autres se font utiliser par eux.

Ils peuvent avoir des effets positifs dans le sens où ils procurent un sentiment d’appartenance à un groupe, permettent d’avoir des nouvelles d’amis, de communiquer mais il n’y a plus d’interaction physique.

Certains réseaux comme Tiktok permettent d’exprimer sa créativité, son identité, partager des émotions positives et même atteindre des buts que l’on pensait inatteignables, mais d’autres sont des vitrines qui ne reflètent pas la réalité et regorgent de « fakes ».

On peut même s’y inventer une vie.

Instagram est le plus néfaste et les filles y sont les plus vulnérables. On y voit les meilleurs scénarios, la meilleure partie de la vie des gens et on s’y compare.

Cela peut entraîner ou amplifier des problèmes d’estime de soi, de confiance en soi

De plus, la barrière virtualité/réalité est de plus en plus fine et le « métaverse » ne va pas arranger les choses.

Le risque est de s’enfermer dans une réalité non réelle, de s’isoler en étant incapable de vivre réellement.

La culture du « like » ou l’approbation sociale

cyberdépendance

En allant 20 fois par jour sur les réseaux pour voir nos notifications et combien de personnes ont « liké » ou commenté notre publication ou notre « story », nous attendons l’assentiment des autres.

Mais un manque d’approbation sociale peut entraîner anxiété, frustration, dépression, et même parfois agressivité.

Poster sa vie sur Internet marque un besoin d’abondance de reconnaissance.

Mais un sentiment d’échec peut apparaître en cas de peu de vues, de likes ou de commentaires.

L’approbation sociale a ainsi un côté addictif et c’est de plus en plus fréquent de nos jours.

Certains ont même peur de manquer quelque chose. On parle alors de F.O.M.O. (Fear Of Missing Out).

Ils vont constamment sur les réseaux pour être sûr de ne jamais rien manquer, d’être à la page, de ne pas être exclus.

Cela touche essentiellement les gens qui ne se sentent pas assez aimés et/ou respectés.

De plus, les réseaux sociaux s’assurent qu’il y ait toujours une relance de dopamine.

Via leurs algorithmes, ils agissent sur le système de récompense.

Ainsi, certains comptent le nombre de :

  • « like »,
  • abonnés,
  • amis,
  • retweets,
  • partages,
  • vues,
  • snaps avec même un trophée à la clé !

Comme avec une drogue, nous sommes ainsi exposés à des niveaux de dopamine trop élevés.

Le cortex préfrontal, siège de la volonté, est suractivé, ce qui explique d’ailleurs qu’on se sente léthargique ensuite.

Les signes de la cyberdépendance

Les signes courants de la cyberdépendance sont les suivants :

  • incapacité d’arrêter d’utiliser Internet au détriment d’autres tâches importantes à faire
  • prédominance pour Internet et les médias sociaux et perte d’intérêt pour d’autres activités IRL (In Real Life)
  • anxiété, manque, agitation, mauvaise humeur ou irritabilité en l’absence de connexion
  • besoin d’augmenter le temps de connexion
  • conflits (familiaux, conjugaux, professionnels)

Pourquoi devient-on cyberdépendant ?

Pour le Psychologue Américain Ivan K. Goldberg :

« La dépendance à Internet peut déterminer la négation ou l’évitement d’autres problèmes de la vie courante ».

Ivan K. Goldberg

Pour lui, ce phénomène s’intensifie chez quelqu’un qui manque d’estime de soi, de reconnaissance, et/ou qui se sent insignifiant.

Pour le spécialiste Français, Romain Cally, Internet semblerait être un moyen d’échapper à une réalité peu supportable ou encore de soulager des pulsions irréalisables dans la vraie vie.

Les causes de la cyberdépendance sont les mêmes que celles de toute autre dépendance :

  • Biologiques : les gènes et la chimie du cerveau peuvent rendre plus vulnérable.
  • Psychologiques : l’état mental et la personnalité peuvent augmenter le risque de dépendance.
  • Sociaux : le stress, la solitude et de faibles aptitudes sociales augmentent le risque de dépendance.

Quelles sont les conséquences de la cyberdépendance ?

L’utilisation excessive d’Internet et des nouvelles technologies est problématique car elle entraîne des difficultés biologiques, psychologiques et sociales :

Biologiques :

  • sédentarité avec maux de dos et fatigue,
  • syndrome du canal carpien,
  • sécheresse des yeux,
  • malnutrition avec repas irréguliers et déséquilibrés, souvent faits de collations,
  • réduction du temps de sommeil pour rester devant l’écran, maux de têtes (migraines chroniques). En cause également, la lumière bleue qui simule la lumière naturelle du matin et indique au cerveau qu’il faut se réveiller en inhibant la production de mélatonine, hormone du sommeil,

et parfois même un manque d’hygiène corporelle.

Psychologiques :

  • perte de contrôle de soi avec impulsivité
  • agressivité
  • sentiment de vide
  • dépression
  • anxiété
  • culpabilité, honte

Sociales :

  • relations sociales, familiales, conjugales, professionnelles et même parfois financières dégradées
  • baisse de la motivation, de la concentration, de la productivité
  • isolement dans la vie réelle

Qui est concerné par la cyberdépendance ?

Comme pour l’addiction aux jeux, il n’existe pas de profil type.

La cyberdépendance touche tous les âges et toutes les catégories sociales mais le fait d’être dans les situations suivantes peut la favoriser :

  • vie sociale, familiale, scolaire, professionnelle compliquée
  • accès facile à Internet
  • période de crise identitaire
  • timidité, manque de confiance en soi
  • manque de reconnaissance
  • traumatismes dans l’enfance
  • comportement impulsif
  • émotivité
  • troubles psychiques

Les jeunes sont toutefois les plus concernés.

La cyberdépendance chez les jeunes

cyberdépendance études

La pandémie du Covid-19 a alimenté la cyberdépendance chez les jeunes.

La formation en ligne devient d’ailleurs courante aujourd’hui.

Les jeunes qui utilisaient peu Internet avant la crise passent désormais plus de 9h par jour devant leur écran.

De plus, les jeunes d’aujourd’hui ont besoin d’hyperstimulation et c’est ce qu’Internet leur offre.

En étudiant en musique ou en regardant la TV tout en « chéquant » 5, 10, 15 ou 20 fois leur téléphone, ils savent passer facilement d’une activité à une autre.

Ils ont soif de stimulation, d’informations… et certains même de reconnaissance et « scrollent » jusqu’au pic de dopamine.

Outre le fait qu’ils soient exposés aux conséquences que nous venons de voir, ils sont les plus touchés par un manque de :

  • concentration (problématique dans le cadre de leurs études),
  • compétence d’interaction sociale (problématique dans le cadre de leur vie professionnelle mais aussi personnelle).

Quels traitements contre la cyberdépendance ?

Parler de traitement ici est assez délicat car il existe peu d’études sur ce phénomène récent et en pleine expansion.

Nous allons vous donner quelques pistes mais sachez que, si la cyberdépendance est assez avancée, il sera difficile de vous en sortir seul. Accompagnez-vous d’un proche ou d’un thérapeute.

Vous avez fait une « auto-observation » en vous servant de la fonctionnalité « temps d’écran » de votre smartphone ?

Vous êtes sur la bonne voie !

Peut-être que quelques efforts et de l’autodiscipline suffiront.

Comme le préconise le Dr Kimberly Young :

  • pratiquez des activités opposées
  • mettez une alarme pour le temps de connexion
  • réduisez doucement votre temps de connexion
  • pratiquez d’autres activités plaisantes à caractère social ou de détente
  • exprimez-vous en dehors d’Internet
  • faites du sport, méditez
  • organisez des soirées familiales ou des sorties entre amis

En vous déconnectant de temps en temps d’Internet, vous allez prendre le temps de vous connecter réellement et entièrement à vous-même et aux autres.

Vous allez :

  • être plus serein
  • gagner du temps et de la présence
  • améliorer votre créativité et votre efficacité

Une petite cure digital détox ?

C’est le printemps et donc le meilleur moment pour une digital détox !

Un petit défi ?

Sortez de chez vous sans téléphone !

Si c’est trop compliqué, voici quelques petites astuces :

  • faites votre cure le temps d’une journée, d’un week-end ou pendant les vacances, quand les beaux jours arrivent, et baladez-vous
  • oubliez votre chargeur
  • déconnectez Internet
  • évitez d’emmener votre téléphone aux WC
  • achetez-vous une vraie montre
  • utilisez un vrai réveil matin
  • faites ce que vous n’avez jamais le temps de faire (lire, dessiner, faire du sport, du rangement, jouer à des jeux de société entre amis, cuisiner, jardiner…)
  • faites le tri de vos applications et ne gardez que les fonctionnelles
  • désactivez les notifications
  • choisissez un fond d’écran dissuasif
  • lorsque vous posez votre téléphone, retournez-le
  • lors d’un repas entre amis, laissez votre téléphone dans votre sac
  • consommez du CBD pour vous détendre et vous aider à déconnecter

Comment le CBD pourrait-il aider à combattre la cyberdépendance ?

Les nouvelles technologies et Internet exposent à des taux de dopamine trop élevés.

Nous ne sommes pas censés être connectés à des tas de personnes et recevoir des informations H24.

Tout est démultiplié.

Notre système dopaminergique est perturbé et c’est là que le CBD pourrait être « précieux » pour vous aider.

Il intervient sur le cerveau via le système endocannabinoïde en agissant sur l’anandamide, cannabinoïde produit par notre organisme qui influence la libération de dopamine.

Le CBD rééquilibre ainsi notre système cérébral.

De plus, il a des propriété anxiolitiques et antistress et pourrait donc soigner le manque causé par le sevrage de cette addiction.

Conclusion

cyber-relation

Internet peut être une bonne chose pour notre évolution, mais il faut apprendre à canaliser nos connexions.

Les êtres humains ont besoin d’interagir physiquement mais ne prennent plus le temps de se voir.

On ne s’appelle même plus alors que le téléphone est dans notre main.

Alors, si un jour vous recevez cette notification de votre « précieux » :

« Vous avez 39 nouvelles demandes d’amis,

Vous avez 120 nouveaux likes,

Vous n’avez pas vu vos amis depuis 2 mois,

Votre vie est digitale,

LOL ! »

Soprano

Posez-vous la question : suis-je cyberdépendant ?

Si c’est le cas, il y a urgence à vous « déconnecter » du monde virtuel pour vous « reconnecter » au monde réel.

Occupez-vous à des activités simples et nourrissantes et soyez à 100 % dans ce que vous faites.

Le CBD peut vous y aider et vous le trouverez dans notre boutique sous différentes formes.

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